03 Janvier 2020 – 10 Janvier 2020
Région du kanto, préfecture de Tokyo
Après être revenue de Nagano, j’avais rendez-vous avec l’agence de mon logement. Je devais signer le contrat afin de récupérer ma chambre. Avec mes deux grosses valises et la fatigue qui se faisait sentir, ça n’a pas été une partie de plaisir. Mais enfin j’arrive dans mon nouveau logement. Ma chambre n’est pas grande mais je ne la regrette absolument pas !
Par la suite j’ai commencé l’école et j’ai décidé de visiter les alentours. Le quartier de Yanaka est réputé pour être traditionnel. J’ai voulu voir ça de mes propres yeux et effectivement, nous avons dans ce quartier un bel exemple de la modernité qui côtoie le traditionalisme.
Ce quartier a su garder son côté historique car il a résisté aux tremblements de terre, incendies et bombes de la seconde guerre mondiale. J’aime particulièrement m’y balader.
Je ne sais pas quelle photo choisir alors j’en mets plein !
Yanaka est composé de très nombreux temples et sanctuaires. J’ai également trouvé un spot pour observer les cerisiers. Bon, en janvier il n’y en avait pas encore, mais à l’heure où j’écris ces lignes les fleurs de cerisiers ne devraient pas tarder à pointer le bout de leur nez.
Il y a également beaucoup de bonnes choses à manger que ce soit à côté de mon école ou à côté de ma share house !
J’ai également fait la connaissance d’un marchand dans mon quartier qui est très gentil et vend des Taiyaki.
Le taiyaki (littéralement dorade cuite) est un gâteau japonais en forme de poisson.
La plupart du temps, il est fourré avec de la pâte d’anko, une pâte de haricots rouges sucrés. D’autres garnitures possibles incluent la crème pâtissière, la crème au chocolat et la crème au fromage. Mais chaque vendeur est libre d’innover. Par exemple celui dans lequel je vais, propose du fourrage goût yuzu (un agrume japonais).
Le taiyaki est fabriqué en utilisant la pâte à pancake ou à gaufres. La pâte est versée dans les deux parties d’un moule en forme de poisson. La garniture est ensuite mise d’un côté du moule, puis les deux parties sont refermées. Pour finir, il est cuit des deux côtés jusqu’à ce qu’il devienne doré.
Fourré à la crème patissière,, les meilleurs !
Bref, en conclusion je me sens très bien où je suis et je m’entends bien avec mes colocs, même si au début la communication n’était pas facile. Régulièrement on se retrouve ensemble. Certaines nous font découvrir la cuisine de leurs pays, parfois nous sortons au resto, au sento (bain publique),…
